ÉTAT DU SUD - TOLIARA FIANARANTSOA

L'avantage de Toliara et Fianarantsoa
1) Autonomie politique totale pour le Sud (Tuléar & Fianarantsoa)
Le Sud deviendra un État fédéré avec ses propres institutions souveraines :
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Un parlement régional élu
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Un pouvoir judiciaire indépendant
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Une constitution régionale, approuvée par la population des deux régions
Objectif : mettre fin aux décisions imposées depuis la capitale et construire une vraie démocratie locale, efficace et proche du peuple.
Tuléar comme Fianarantsoa décideront ensemble de leur avenir commun, selon leurs réalités spécifiques.
2. Postes politiques pour les enfants des deux régions
Fini les nominations depuis Antananarivo — les dirigeants seront issus de Tuléar et de Fianarantsoa.
Pendant trop longtemps, les postes clés ont été confiés à des étrangers à nos réalités.
Désormais :
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Des leaders compétents, enracinés dans la culture du Sud, seront choisis localement.
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Une place digne pour les jeunes dans la vie publique, à Fianarantsoa comme à Tuléar
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Chaque compétence locale sera valorisée pour transformer nos territoires
C’est la fin de la marginalisation politique du Sud dans son ensemble.
3. Nouveau système fiscal : rapide, automatique, équitable
Fin de la mendicité budgétaire : chaque Etat contrôle ses propres fonds
Dans le système fédéral, nous ne dépendrons plus d’Antananarivo pour “recevoir” ce que nous avons produit.
Fonctionnement du nouveau système fiscal :
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Tous les paiements (impôts, taxes, redevances, frais administratifs, etc.) sont collectés localement.
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Un système automatisé et transparent gère les transferts.
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L’argent va d’abord au Trésor public de l’État du Sud.
Ensuite :
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70 % restent dans la région pour nos projets prioritaires
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30 % sont versés automatiquement au gouvernement fédéral
Ce système met fin à la corruption, aux retards, à la centralisation injuste. Il garantit une gestion rapide, locale et juste des ressources.
Grâce à cela, les régions qui produisent plus auront les moyens de se développer sans blocage. C’est la fin du gaspillage et du déséquilibre : chaque région avance selon ses besoins, avec des résultats concrets.
4. Fin des déplacements vers Antananarivo
Avec le système fédéral, les habitants de Tuléar et Fianarantsoa n’ont plus besoin de faire de longs voyages vers la capitale pour leurs démarches administratives.
Permis, passeports, concours, formations, documents officiels : tout se fait localement, dans les capitales régionales respectives.
Comme à Tuléar, Fianarantsoa développe ses propres :
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Bureaux administratifs complets
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Plateformes numériques
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Centres de formation modernes
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Agents formés et compétents
Les citoyens de tout le Sud peuvent désormais tout gérer sur place, sans intermédiaire, sans corruption, avec dignité.
Ce système renforce l'autonomie et redonne confiance aux populations de Tuléar et Fianarantsoa.
5. Connaissance des priorités locales à Tuléar et Fianarantsoa
Les décisions sont prises par ceux qui vivent ici, à Tuléar comme à Fianarantsoa.
Fini les projets imposés depuis Antananarivo, sans lien avec les réalités du terrain.
Grâce au système fédéral, ce sont les autorités locales – proches du peuple, ancrées dans la culture et les besoins de chaque région – qui fixent les priorités. Routes, écoles, hôpitaux, infrastructures agricoles : les décisions sont fondées sur l’écoute directe des habitants, dans les deux grandes régions du Sud.
Cela permet de répondre rapidement aux urgences et de planifier le développement de manière cohérente.
Les citoyens retrouvent le pouvoir d’agir, et les budgets sont utilisés là où ils font une vraie différence.
Le développement devient enfin intelligent, utile, et respectueux des identités locales propres à Tuléar et Fianarantsoa.
6. Modernisation du port stratégique (Tuléar)
Le port de Tuléar pourra être modernisé pour stimuler le commerce régional.
Idéalement situé face au canal du Mozambique, il peut devenir une porte d’entrée majeure pour les échanges avec l’Afrique de l’Est, le Moyen-Orient et l’Asie.
Grâce à l’autonomie régionale, les recettes portuaires resteront en grande partie dans la région pour financer sa modernisation.
Le développement du port créera des milliers d’emplois directs et indirects : dockers, douanes, logistique, transport, industrie locale.
Cela réduira la dépendance au port de Tamatave et fera du Sud un acteur économique incontournable.
Comme pour Fianarantsoa, Tuléar ne sera plus un point isolé sur la carte, mais un véritable centre d’affaires maritime et régional.
7. Souveraineté sur les ressources (Tuléar & Fianarantsoa)
Gaz, pétrole, saphirs, terres rares — enfin exploités dans le respect et pour le bénéfice des populations locales, à Tuléar comme à Fianarantsoa.
Pendant des décennies, les ressources du Sud ont été pillées au profit d’intérêts extérieurs ou centralisés à Antananarivo.
Avec le système fédéral, les richesses naturelles sont sous contrôle local.
Cela veut dire :
– des contrats transparents
– des exploitations respectueuses de l’environnement
– une redistribution directe des bénéfices vers les communautés locales : écoles, hôpitaux, routes, services publics.
L’État fédéré du Sud, incluant Tuléar et Fianarantsoa, pourra enfin décider qui exploite, comment, et pour qui.
C’est la fin du pillage organisé.
Les ressources deviennent un levier de développement pour les populations, et non plus une malédiction contrôlée depuis des bureaux éloignés et déconnectés du peuple.
8. Industrie de transformation locale
Moins d’export brut, plus de valeur ajoutée ici.
Assez d’envoyer nos matières premières à l’étranger pour qu’elles reviennent sous forme de produits chers.
Grâce à l’autonomie économique régionale, l’État fédéré du Sud (Tuléar & Fianarantsoa) peut développer ses propres unités de transformation : huileries, usines textiles, industries agroalimentaires, briqueteries, etc.
Cela signifie plus d’emplois locaux, plus de compétences techniques, et une économie plus stable dans les deux régions.
Transformer sur place, c’est aussi augmenter les recettes fiscales et diminuer notre dépendance aux importations.
L’objectif est clair : produire ici, transformer ici, vendre ici et à l’international.
C’est une politique industrielle souveraine, créatrice de richesse et ancrée dans les réalités du Sud, au bénéfice des populations de Tuléar et de Fianarantsoa.
9. Modernisation de l’agriculture
Riz, maïs, coton, sucre, manioc — productivité accrue avec irrigation locale.
Le Sud (Tuléar & Fianarantsoa) a un immense potentiel agricole encore sous-exploité.
L’État fédéré met en place des politiques d’irrigation adaptées, des centres de formation agricole, et des subventions aux petits producteurs des deux régions.
Fini les saisons de famine et les cultures abandonnées.
Avec une irrigation intelligente, des semences améliorées et des circuits de distribution locaux, les paysans peuvent produire plus, vendre mieux, et vivre dignement.
L’agriculture cesse d’être une activité de survie pour devenir une force économique locale.
Le riz de Tuléar, le sucre de Fianarantsoa, le coton du plateau, peuvent nourrir le pays et renforcer la souveraineté alimentaire du Sud dans son ensemble.
10. Développement de l’élevage
Filières de viande et cuir localement valorisées.
L’élevage est une richesse traditionnelle partagée par Tuléar et Fianarantsoa.
Mais trop souvent, les bœufs sont vendus vivants à bas prix, sans aucune valeur ajoutée locale.
Grâce au système fédéral, l’État du Sud investit dans des abattoirs modernes, des tanneries, et des circuits de commercialisation régionaux, répartis dans les deux régions.
La viande est transformée et vendue sur place, le cuir traité localement pour alimenter l’artisanat et l’industrie du Sud.
Cela crée des emplois durables, réduit les pertes, et augmente les revenus des éleveurs de Tuléar comme de Fianarantsoa.
C’est aussi une réponse aux vols de bétail, car les éleveurs travaillent désormais dans un cadre économique structuré, protégé, et valorisé.
11. Industrie de pêche équitable
Faune marine riche = emplois et exportation contrôlée pour tout le Sud
Les côtes de Tuléar regorgent de poissons, crustacés et ressources marines précieuses.
Mais jusqu’ici, la population reste pauvre, pendant que des bateaux étrangers pillent nos eaux.
Avec l’autonomie régionale, les licences de pêche sont désormais délivrées localement, la gestion des ressources devient durable, et les exportations sont encadrées au profit des populations du Sud.
Des coopératives de pêcheurs sont soutenues à Tuléar, et des centres de transformation seront créés jusqu’à Fianarantsoa, afin d’assurer une chaîne de valeur complète et régionale.
Les marchés locaux sont dynamisés, les emplois se multiplient, les jeunes sont formés à la logistique, au commerce, et à la gestion maritime.
Fini les pillages en mer : les richesses maritimes du Sud appartiennent aux gens du Sud, de Tuléar à Fianarantsoa, et servent leur avenir.
12. Accès aux marchés internationaux
Port à Tuléar + aéroport à Fianarantsoa = une plateforme logistique régionale.
Grâce à un port modernisé à Tuléar et un aéroport actif à Fianarantsoa, l’État du Sud devient une véritable plateforme logistique ouverte sur le monde.
Les produits locaux — agricoles à Fianarantsoa, halieutiques à Tuléar, artisanaux et industriels dans les deux régions — peuvent désormais être exportés directement, sans passer par Antananarivo.
Cela réduit les coûts, accélère les délais, et attire les investisseurs étrangers.
Le Sud, dans son intégralité, se connecte au commerce international selon ses propres règles, sans filtre ni contrôle centralisé.
13. Décentralisation de l’éducation
Fianarantsoa et Tuléar deviennent des pôles universitaires du Sud.
Les jeunes du Sud n’auront plus besoin de monter à Antananarivo pour accéder à un enseignement supérieur de qualité.
Avec le fédéralisme, des universités régionales modernes voient le jour à Fianarantsoa et Tuléar, accompagnées d’écoles techniques adaptées aux réalités du Sud : agriculture, pêche, tourisme, santé, logistique, gestion…
Les centres de formation professionnelle s’installent aussi dans les zones rurales, pour toucher le plus grand nombre.
Le savoir devient un pilier du développement local, aussi bien à Fianarantsoa qu’à Tuléar.
14. Création d’emplois massifs
Un boom de l’emploi dans tout l’État fédéré du Sud.
Le système fédéral donne à chaque région les moyens de lancer ses propres projets.
À Tuléar : ports, routes côtières, zones industrielles et logistiques.
À Fianarantsoa : infrastructures agricoles, hôpitaux modernes, pôles d’enseignement et routes vers le centre.
Les services publics régionaux recrutent massivement : enseignants, médecins, ouvriers, techniciens, chauffeurs, agronomes…
Les entrepreneurs locaux sont encouragés à investir et créer des emplois durables.
De Tuléar à Fianarantsoa, les jeunes peuvent bâtir leur avenir sans exil. L’emploi se crée ici, chez nous.
15. Stimulation des jeunes talents
Les jeunes pourront réussir sans quitter leur région.
Aujourd’hui, trop de jeunes quittent leur terre natale faute d’opportunités.
Le système fédéral change cette réalité.
En créant un environnement propice à l’innovation, à l’entrepreneuriat et à l’expression culturelle, l’État du Sud (Tuléar et Fianarantsoa) donne aux jeunes la possibilité de réussir là où ils sont nés.
Incubateurs, financements pour projets, espaces numériques, festivals régionaux, concours d’idées : les talents sont détectés, formés, accompagnés.
La réussite ne passe plus par Antananarivo.
Elle se construit ici, avec des moyens locaux, pour répondre aux défis locaux.
C’est une véritable libération des énergies de la jeunesse, au service de leur communauté et de leur avenir.
16. Équité budgétaire
Les fonds ne seront plus monopolisés par la capitale.
Dans le système centralisé actuel, la majorité des ressources nationales sont captées par Antananarivo, laissant les autres régions dans la pauvreté et le sous-développement.
🟩 Avec le fédéralisme, c’est terminé.
👉 Les recettes générées localement resteront en grande partie sur place pour financer les besoins réels de la population.
👉 Les régions de Tuléar et Fianarantsoa pourront établir leur propre budget, définir leurs priorités locales, et garantir la transparence dans l’utilisation des fonds publics.
⚖️ C’est la fin des inégalités structurelles. Chaque citoyen voit enfin ses impôts servir directement à améliorer sa vie.
📌 C’est une justice budgétaire, une souveraineté financière, et un vrai développement équilibré.
17. Gouvernement proche du peuple
Des responsables accessibles et directement redevables à la population.
Fini les ministres inaccessibles, les élus invisibles et les décisions prises à huis clos à Antananarivo.
Dans le système fédéral :
✅ Les dirigeants régionaux vivent parmi le peuple,
✅ Ils partagent les réalités du terrain,
✅ Et doivent rendre des comptes localement.
💬 Réunions publiques, budgets participatifs, mécanismes de contrôle citoyen : la population devient acteur de son avenir.
Dans Tuléar comme à Fianarantsoa, c’est une démocratie enracinée, vigilante, où les élus savent qu’ils peuvent être remplacés s’ils trahissent la confiance du peuple.
18. Fin du monopole politique
Chaque région a son mot à dire.
Le pouvoir ne sera plus confisqué par une élite politique concentrée à Antananarivo.
🗳️ Chaque État fédéré aura :
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Son assemblée régionale,
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Ses élus locaux,
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Et des priorités décidées par la population.
🎯 Résultat :
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Plus de diversité politique,
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Plus de représentation,
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Moins d’exclusion.
Tuléar comme Fianarantsoa pourront faire émerger de nouvelles voix, de nouvelles idées, de nouveaux partis.
C’est la fin du règne d’un seul centre, et le début d’un vrai pluralisme politique.
19. Compétition positive entre États
Chacun cherche à mieux gérer, innover et servir.
Dans un système fédéral, les régions peuvent enfin avancer à leur rythme, selon leurs propres solutions.
💡 Chaque État devient un laboratoire de progrès :
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Innovation dans la santé,
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Nouvelles méthodes éducatives,
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Meilleure gestion des ressources,
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Politiques locales d’emploi et de sécurité.
🔁 Les bonnes pratiques circulent, les idées s’inspirent, et le progrès s’accélère.
🎖️ Les dirigeants régionaux sont motivés par les résultats, et le peuple juge sur les faits, pas sur les promesses.
Fianarantsoa comme Tuléar auront la liberté d’expérimenter, de corriger, et d’avancer.
C’est une compétition constructive, au service du peuple et du progrès.
20. Valorisation des zones rurales
Routes, électricité, santé — jusque dans les villages.
Le système centralisé a abandonné les campagnes. Le fédéralisme change cette injustice.
🚜 Avec l’autonomie régionale, l’État du Sud (Tuléar et Fianarantsoa) peut :
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Construire des routes secondaires,
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Installer des réseaux électriques ruraux,
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Ouvrir des dispensaires de proximité,
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Développer des écoles adaptées aux zones rurales.
🌾 Les paysans, pêcheurs et artisans des villages retrouveront leur dignité et leur rôle central dans le développement.
📍 Chaque village devient un acteur du progrès, connecté au reste du territoire.
C’est une vraie justice territoriale, et un changement de regard sur la ruralité.
21. Protection foncière
L’autonomie régionale permettra d’instaurer un système de protection foncière solide pour les habitants de la région.
Fini les accaparements de terres par des étrangers ou des élites venues d’ailleurs !
Nos lois régionales garantiront la sécurité juridique des paysans, éleveurs, pêcheurs et familles locales.
Les titres fonciers seront délivrés localement, de manière rapide et équitable.
Cela mettra fin aux conflits interminables liés à la terre et encouragera l’investissement local.
Chaque citoyen aura le droit de bâtir et développer sur une terre reconnue comme la sienne, sans crainte d’expropriation ni d’injustice imposée depuis la capitale.
👉 Les régions de Tuléar comme Fianarantsoa pourront ainsi sécuriser leur patrimoine foncier et défendre les droits des communautés rurales.
22. Développement des coopératives
Un État fédéré autonome pourra soutenir activement la création de coopératives locales.
Que ce soit dans l’agriculture, l’élevage, l’artisanat, la pêche ou la transformation alimentaire, les petits producteurs seront mieux organisés, mieux financés, et mieux protégés.
Les coopératives offriront un accès direct aux marchés locaux et internationaux, sans passer par des intermédiaires abusifs.
Cela permettra aussi d’augmenter les revenus, de partager les risques, et de créer des emplois durables.
Avec des lois locales adaptées, nous pourrons bâtir une économie régionale solidaire et efficace, tournée vers l’avenir, respectueuse des valeurs de notre peuple.
👉 Ce modèle renforcera les initiatives populaires aussi bien dans les campagnes de Fianarantsoa que dans les zones côtières de Tuléar.
23. Tourisme éthique
Le Sud regorge de richesses naturelles, culturelles et humaines uniques.
Grâce à l’autonomie régionale, nous pourrons développer un tourisme responsable, durable et respectueux des communautés locales.
Plus de décisions imposées depuis Antananarivo !
Les populations concernées participeront directement à la gestion du tourisme : zones protégées, guides locaux, hébergements familiaux, circuits écologiques.
Les bénéfices du tourisme resteront ici, pour construire des écoles, des centres de santé, et des infrastructures utiles.
Le Sud deviendra une destination phare, non pas au service de multinationales, mais pour valoriser notre culture et offrir un avenir à nos enfants.
👉 Des hauts plateaux de Fianarantsoa jusqu’aux lagons de Tuléar, chaque territoire pourra développer un tourisme à son image, pour et avec sa population.
24. Une justice locale, enracinée, rapide et respectueuse des réalités
Plus besoin de faire des centaines de kilomètres pour obtenir justice. Chaque État fédéré, comme Tuléar ou Fianarantsoa, aura ses propres tribunaux souverains, avec des juges proches du peuple, des délais rapides, une justice en langue locale, et un respect réel des réalités culturelles. Cette justice ne sera plus une faveur venue de la capitale, mais un droit accessible, enraciné, et respecté sur place.
Justice traditionnelle et communautaire reconnue. Le système fédéral pourra intégrer officiellement les mécanismes traditionnels de résolution des conflits, à condition qu’ils respectent les droits fondamentaux. Des conseils de sages ou tribunaux coutumiers pourront être réhabilités dans les zones rurales, en complément des tribunaux modernes. Les conflits fonciers, familiaux, commerciaux ou sociaux seront résolus ici, dans nos langues, avec notre culture, sans délais interminables. Une justice locale forte, c’est aussi une arme contre la corruption, l’impunité, et les abus de pouvoir. C’est un pilier fondamental de la liberté et de la dignité pour chaque citoyen. 👉 Tuléar et Fianarantsoa bénéficieront enfin de cours de justice proches, accessibles, et enracinées dans les réalités locales.
25. Réduction des inégalités régionales
Aujourd’hui, la majorité des richesses produites dans les régions est siphonnée par la capitale. Ils collectent vos centaines de millions, et dépensent tout à Antananarivo — sans même vous renvoyer un seul million. Pas un pont, pas une école, pas une route locale. Rien. Ce n’est pas normal qu’un gouvernement central s’enrichisse sur votre dos, pendant que vos villages manquent de tout. Fianarantsoa et Tuléar méritent mieux. Le fédéralisme changera cela.
Avec un système budgétaire inversé, l’argent arrive d’abord dans les États fédérés, comme Tuléar ou Fianarantsoa. Puis, 30 % sont automatiquement et instantanément transférés au compte fédéral. 👉 Aucune paperasse. Aucun délai. Aucune autorisation à demander pour toucher l’argent qui vient de chez vous. C’est la fin des humiliations où il fallait supplier la capitale pour obtenir un droit qui vous appartient. Aucune opportunité pour le gouvernement central de "chopper" l’argent. Il n’y touche qu’après vous.
Chaque État pourra enfin gérer ses ressources, planifier ses projets, et répondre directement aux besoins locaux. Cela permettra d’investir dans les routes, l’électricité, l’éducation, la santé, l’eau potable, et bien plus encore. Les zones oubliées comme Fianarantsoa ou Tuléar ne seront plus à la traîne, mais au cœur du développement national. L’égalité ne viendra pas d’un miracle venu d’en haut, mais d’un changement structurel qui donne à chaque territoire les moyens d’agir pour son propre avenir. Tant Fianarantsoa que Tuléar pourront enfin sortir de l’oubli et construire leur propre modèle de progrès.
26. Planification urbaine locale
Les villes du Sud grandissent sans plan, sans vision, souvent dans le chaos.
Grâce à l’autonomie, les gouvernements locaux pourront planifier le développement urbain de manière intelligente et adaptée.
Logements, voiries, espaces verts, éclairage public, transports — tout sera pensé selon les besoins réels de la population, et non en fonction de projets décidés depuis la capitale.
Cela permettra d’éviter la surpopulation, la dégradation des quartiers, les embouteillages, et les problèmes sanitaires.
Une ville bien pensée, c’est une ville agréable, propre, efficace — où il fait bon vivre et où chaque habitant peut s’épanouir.
Tuléar comme Fianarantsoa auront enfin les moyens de bâtir des villes modernes, sûres, et à taille humaine, en harmonie avec leurs réalités propres.
27. Stimulation du patriotisme local
L’unité nationale ne signifie pas l’effacement de nos identités régionales.
Au contraire, le fédéralisme permettra de redonner vie à nos cultures, nos langues, nos traditions, nos valeurs.
Chaque État pourra promouvoir son patrimoine, enseigner son histoire locale à l’école, organiser ses propres fêtes régionales.
Cela renforcera la fierté d’appartenir à une terre, à un peuple, à une mémoire collective.
En se sentant valorisé chez lui, chaque citoyen développera un amour plus profond pour sa région et pour la nation tout entière.
Le patriotisme local est une force positive pour bâtir un avenir commun plus fort.
De la côte de Tuléar jusqu’aux hauts plateaux de Fianarantsoa, chaque région retrouvera sa voix, sa mémoire, et sa dignité.
28. Meilleur contrôle des politiciens
Avec des dirigeants locaux élus et redevables directement devant le peuple, le contrôle politique devient réel.
Fini les politiciens parachutés depuis Antananarivo qui ne connaissent rien à nos réalités !
Ici, le peuple pourra surveiller ses responsables, les interpeller, exiger des comptes, et les remplacer s’ils trahissent leur mandat.
La presse régionale, les associations locales, les citoyens engagés auront le pouvoir d’agir.
De plus, le gouvernement fédéral veillera à l’équilibre général, en sanctionnant les abus.
C’est la fin de l’impunité politique, et le début d’une gouvernance saine, fondée sur la transparence, l’efficacité et le respect du peuple.
À Tuléar comme à Fianarantsoa, les citoyens auront enfin le pouvoir réel sur ceux qui les gouvernent.
29. Gouvernance stable et responsable
Le système fédéral réduit les tensions liées à la centralisation du pouvoir.
Chaque région gère ses affaires, selon ses priorités, avec ses ressources.
Cela diminue les frustrations, les révoltes, et les conflits politiques chroniques.
La stabilité ne vient pas de la force, mais de la justice et de la participation.
En responsabilisant les élus locaux, en impliquant les citoyens dans les décisions, on construit une société plus harmonieuse, plus résiliente, plus démocratique.
Le chaos permanent que nous vivons n’est pas une fatalité.
Une autre gouvernance est possible, plus proche du peuple, plus humaine, plus durable.
C’est un espoir concret pour les peuples de Tuléar, de Fianarantsoa et de tout le Sud malgache.
30. Renouveau pour tout le Sud-Ouest
Le fédéralisme n’est pas une simple réforme administrative.
C’est une révolution pacifique, une renaissance pour toute la région Sud-Ouest.
Agriculture, pêche, tourisme, éducation, santé, justice, culture — tous les secteurs seront redynamisés par des politiques locales ambitieuses et adaptées.
Les jeunes n’auront plus besoin de fuir.
Les anciens verront enfin leurs efforts respectés.
Les investisseurs viendront non pas pour exploiter, mais pour bâtir avec nous.
Ce renouveau sera notre œuvre collective.
Ce que nous n’avons jamais obtenu d’Antananarivo, nous allons le construire ici, chez nous, avec nos forces, notre courage, et notre fierté retrouvée.
Tuléar ne sera plus un territoire abandonné, mais un pilier du développement national — tout comme Fianarantsoa, moteur culturel et stratégique de notre renaissance.
Les Avantages du Système Fédéral : Une Vision pour l'Avenir de Madagascar
Les avantages que vous venez de lire concernent l'État fédéré du Sud et ses réformes majeures. Cependant, ces avantages ne représentent qu'une partie de tout le potentiel du système fédéral. Chaque État fédéré — que ce soit l'État fédéré du Centre ou celui du Nord — offrira ses propres caractéristiques et atouts uniques, complémentaires aux réformes du Sud. Chacun de ces États apportera sa propre contribution au développement global de notre nation, dans le cadre d'un système fédéral solide et inclusif.
Explorez les avantages des autres États fédérés
Nous vous invitons donc à explorer les avantages spécifiques de l'État fédéré du Centre et de l'État fédéré du Nord. Ces avantages viendront compléter et enrichir la vision fédérale pour une Madagascar unifiée et prospère, où chaque région pourra s'épanouir à son propre rythme et selon ses spécificités.
Participez à l'enrichissement de ce projet
👉 Si vous connaissez d'autres avantages ou si vous avez des idées pour améliorer ce projet, nous vous encourageons vivement à nous les faire parvenir.
Nous sommes pleinement ouverts à vos suggestions et commentaires. Ensemble, nous pourrons mettre à jour et enrichir notre plan pour répondre aux besoins et aspirations de chaque région. Vous pouvez nous envoyer vos propositions formellement, et nous serons heureux de les intégrer dans nos mises à jour futures.
Construisons ensemble un avenir meilleur pour Madagascar !
Ensemble, nous créons une gouvernance qui met l'autonomie et la prospérité de chaque territoire au cœur de notre projet national. Chaque région sera responsable de son propre développement, tout en contribuant à un bien-être commun.
En disant oui au fédéralisme, vous choisissez un avenir prospère pour toutes les régions de Madagascar, sans laisser personne de côté. C’est la solution qui répond à nos défis actuels. Unissons-nous sous ce nouveau modèle pour faire de Madagascar un pays plus fort, plus juste et plus équitable pour tous ses citoyens. Le fédéralisme, c’est la clé de notre avenir.
Le fédéralisme est bien plus qu’une réforme, c’est une révolution ! C’est l’unité dans la diversité, l’autonomie dans la solidarité. C’est la fin de l’exploitation, la fin de la corruption, la fin du népotisme. C’est le retour du pouvoir aux véritables acteurs du changement : nous, le peuple Malagasy !